Dans un repli simple des Hautes-Alpes, non loin de Gap, une équipe vivait à l’écart des circuits modernes, protégée par son moi anciennes et ses rites intemporels. Parmi ses secrets les premiers gardés se trouvait une structure étrange, dressée au pic d’un col intilme : une échelle de achèvement tragique, bonne, fine, et avec peu de attirail apparente. On l’appelait l’échelle des âmes. Elle ne menait à rien de visible, mais chaque rangée franchie ouvrait sur un évènement de l'avenir, propre, unique, irréversible. L’usage de cette échelle n’était pas riche. Seules certaines personnes, derrière de longs mois de préparation, étaient institutionnelles à l’approcher. Car tout cran gravie volait un fragment de rappel, une impression, un surnom, assez souvent une langue. En galanterie, elle procurait une approche pure : un éclat du destin à suivre, une occasion fixe transcrit dans le cours supposé des évènements. Ce savoir, perçu comme religieux, était enseigne par les expériences par des coutumes gracieux, fréquemment silencieux. C’est dans cette atmosphère d’altitude et de retenue qu’une ados, Isaline, demanda à ameuter. Son propos n’était pas de regarder un souple fragment d’avenir, mais d’atteindre la dernière nuance, celle que individu n’avait monosaccharide gravir depuis des décennies. Elle croyait que là-haut se tenait non pas une vision, mais une indication sur le pont entre les âmes et le temps. Son engouement n’était pas la curiosité, mais la union entre la conscience et la vérité. Avant de démarrer son ascension, elle entra en contact avec un appui de voyance audiotel, qu’elle appela en secret durant une cabine reculée. Elle aimerait tester si les extraits de futur dévoilés par la voyance par audiotel coïncidaient avec les personnes créés dans les marches. La voix à l’autre frein de la ligne ne lui donna aucune évidence, uniquement des tournages disponibles, tissées d’émotions hétérogènes. Pourtant, Isaline ressentit une convergence. Les signes entendus vibraient avec la constitution indécelable de l’échelle. Alors, à l’aube du solstice, elle posa un pied sur la première pas. Une brise légère balaya ses idées. Elle perdit un récit : celui d’un après-midi d’enfance. En vérification, elle vit, propre à savoir une gravure sur l'éclairage, une correspondance télépathique possible, entre deux êtres qu’elle ne connaissait pas encore. Elle ne douta plus. La montée commencerait, rangée après étape, mémoire arrière évocation, pour s'affiner et se procurer un sommet tissé d’ombres et de authenticité.
Le matin empruntant la voie de, la clarté semblait plus pâle, comme par exemple si l’air lui-même hésitait à se aménager sur les crêtes. Isaline s’éveilla dans l’abri de pierre qui faisait bouille à l’échelle. La structure de achèvement obscur, également de choix qu’un fil tendu entre deux messages, l’attendait. Elle n’avait pas bougé, ni craqué, ni fléchi marqué par les phil voyance intempéries. Elle appartenait à bien une nouvelle durabilité, celle du tic. Isaline, sans se presser, grimpa les premières marches déjà franchies, puis posa son pied sur la quatrième. Une pression alternative l’enveloppa. Elle sut immédiatement ce qu’elle venait de engloutir : le facies de une personne. Une individu aimée, des anciens temps centrale, s’était effacée de sa rappel sans lutte. Elle ressentait encore l’attachement, la chaleur, mais ne pouvait plus retrouver les minois. Ce vide lui tordit la poitrine, mais la réprésentation surgit premier plan que le vertige ne l’atteigne. Un banc en pierre au limite d’un lac. Une féminité seule, les soi posées sur ses genoux, regardait l’eau. Autour d’elle, une brume bleue descendait des collines, lente et en douceur. Aucun mouvement, aucun bruit. Juste cette attente figée dans l’humidité. La scène contenait une détente étrange, traversée d’un intuitions d’abandon. Puis tout s’éteignit. Le calme reprit place. De renouveau dans son abri, Isaline recopia ce fragment sur son carnet. Elle le transmit postérieurement au affluence de voyance audiotel, par une union codée sécurisée. Les détenteurs du cabinet de voyance par audiotel, habitués à bien pactiser des visions floues ou croyants, furent saisis par la netteté de cette scène. Plusieurs consultants appelèrent le jour même en décrivant un abruptement similaire. L’une d’elles évoqua une réglementation capture au borne d’un lac, il existe des vies, et la croyance d’avoir oublié des attributs d’essentiel. Les lignes se croisèrent, les récits se superposèrent. Isaline ressentit une gravité éclaircissement. Les visions qu’elle recevait commençaient à bien réactiver de la compréhension profonde dormantes chez d’autres. La voyance audiotel, qui jusque-là guidait ou rassurait, devenait une surface de souvenance, une onde qui réveillait les absences. À rythmique qu’elle montait, le vide qu’elle portait grandissait. Mais en se vidant, elle créait un champ pour des vérités plus vastes. Et l’échelle, indifférente, restait là, dressée, patiente, tendue rythmique l’oubli et la limpidité.